Suzanne Humphries, Roman Bystrianyk, "Vaccination, la grande désillusion ! Maladies infectieuses, épidémies et vaccins"

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Suzanne Humphries, Roman Bystrianyk, "Vaccination, la grande désillusion ! Maladies infectieuses, épidémies et vaccins"

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Un essai contestant l'efficacité de la vaccination et dénonçant les discours officiels faisant leur promotion. En étudiant différentes épidémies telles que celles de la polio, de la coqueluche ou de la rougeole, les auteurs développent l'évolution de l'immunité et abordent leur disparition.

Dans le monde occidental, il n'y a pas si longtemps encore, les infections mortelles étaient redoutées. Puis, de nombreux pays ont connu une métamorphose, passant de cloaques à maladies à des environnements beaucoup plus salubres et sains.

À partir du milieu du XIXe siècle, le nombre des décès dus à toutes les maladies infectieuses a diminué de façon continue, jusqu'à atteindre des niveaux relativement faibles début du XXe siècle.

L'histoire de ce changement est entre autres marquée par la famine, la pauvreté, la saleté, les remèdes oubliés, la doctrine eugéniste, l'opposition des libertés individuelles à la puissance de l'État, les manifestations et les arrestations liées au refus de se faire vacciner.

Aujourd'hui, on nous dit que les interventions médicales ont augmenté notre espérance de vie et ont à elles seules sauvé d'innombrables vies humaines. Mais est-ce bien vrai ?

« Vaccination, la grande désillusion ! » détaille des faits et des chiffres tirés de revues médicales, d'ouvrages, de journaux et d'autres sources officielles, toutes longtemps méprisées. À l'aide de graphiques, faisant voler les mythes en éclats, ce livre démontre que les vaccins, les antibiotiques et autres traitements similaires ne sont pas responsables de l'augmentation de l'espérance de vie et du déclin de la mortalité due aux maladies infectieuses. Si la profession médicale a pu systématiquement mal interpréter et ignorer des éléments historiques clés, il faut alors se demander ce qui est encore ignoré et mal interprété aujourd'hui ?

La meilleure raison de vouloir connaître notre histoire est sans aucun doute de nous permettre d'éviter que le pire ne se reproduise à l'avenir.